10 mars 2021
Muriel Hennequin a longtemps travaillé au sein de ce qui était appelé à l’époque l’ANPE, et s’occupait tout particulièrement de personnes qui se trouvaient dans des situations nouvelles et pour lesquelles aucune des méthodes en activité au sein de l’ANPE ne trouvait à s’appliquer efficacement. Il cite notamment le cas des typographes dont le métier a été balayé par la révolution informatique. Leurs capacités étaient réelles mais ne trouvaient plus d’application, le bilan de compétences était une arme inefficace pour ce type de chômeurs, il lui a fallu réfléchir à d’autres façon de faire, et c’est en réfléchissant et recherchant ce qui était fait à travers le monde qu’il est tombé sur une méthode canadienne basée d’abord non sur les compétences des candidats, mais sur leurs envies.
Après deux dizaines d’années d’expérience et d’amélioration, la méthode Vocalib était née, elle part des goûts et envies de l’ado pour l’emmener vers un métier, ce qui permet de définir un projet pour arriver jusqu’à ce métier. Bien entendu le métier et les moyens d’y arriver sont définis avec le jeune adulte mais sous le contrôle du consultant qui a comme contraintes de présenter à la fin des entretiens et sous forme d’une synthèse écrite un projet réaliste et réalisable. Cela implique de la part du consultant une connaissance profonde des métiers, de leurs contenus, du quotidien des professionnels en plus d’une connaissance des voies d’accès à ces métiers.
Ce projet n’est ni celui de l’entourage (amis, professeurs, parents), ni un rêve fou, mais le résultat d’un processus de maturation de l’ado qui a appris ce qu’est un métier, qui a appris en quoi consiste le quotidien de ce métier, qui a trouvé des arguments pour expliquer pourquoi il souhaitait exercer ce métier et qui connait le prix à payer en termes de travail scolaire pour arriver jusqu’à ce métier. En un mot il a appris à faire lui-même son choix pour sa vie professionnelle future.
A l’issue de ce processus, les parents sont unanimes, « Il a grandi d’un coup », « Il est motivé », « Il s’est mis au travail avec ardeur » … ce qui prouve qu’apprendre à choisir fait passer l’ado vers l’âge adulte, âge où l’on fait et assume ses choix.
La démarche qui se fait sur la base d’entretiens avec l’ado, dans lesquels il est isolé des pressions extérieures, familiales et se retrouve face à une personne neutre qui est là pour l’aider à faire lui-même ses choix, ce qui va le pousser à considérer ses choix comme étant vraiment les siens, et à donc y demeurer fidèle.
Coup de chance pour les parents d’enfants vivant à l’étranger, cette méthode est accessible à distance, par le biais de skype ou zoom !
Le coût de cette prestation est de 500€ TTC, prestation ou devrait-on parler d’investissement, car depuis 2011 et les centaines d’enfants aidés, seuls 2 ne sont pas allés au bout de la réflexion, sinon, aucun n’a dû se réorienter après une première année dans une filière inadaptée, contrairement à 53% des étudiants !
On mesure que ce coût est finalement peu élevé au regard de ce que peut vous coûter une année dans une école ou une université hors de votre ville qui se solde par une réorientation !
De plus, ces 500€ comprennent une année de suivi illimité pour répondre aux questions, aux doutes de l’ado s’il en subsiste après les entretiens et la définition de la stratégie d’orientation faite avec Vocalib.
Ou contactez directement Muriel Hennequin +33 6 15 11 37 98
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